Tarifs
5€ | tarif unique
Billetterie
www.tecou.fr/billetterie
Adresse
24 chemin des Martisses
81600 Técou
Contact
lehangart@tecou.fr
0789364293

IL N'Y A PAS D'HEURE POUR DANSER, un événement mêlant amateur.trices et professionnel.les au HANGART le samedi 5 avril 2025 à 19h

« Il n’y a pas d’heure pour danser » revient en 2025 : un projet amplifié pour une deuxième édition encore plus fédératrice !

Après le succès de la première édition, « Il n’y a pas d’heure pour danser » revient en force en 2025 ! Porté par la FDMJC du Tarn, la FRMJC Occitanie, l’Adda du Tarn et la MJC de Técou, et grâce au soutien du Département du Tarn et l’appui de la Région Occitanie, cet événement et projet unique célèbre la danse sous toutes ses formes, portée par les jeunes !

Ce projet, qui se déroule sur plusieurs mois, permet à des jeunes danseuses et danseurs issus de 11 MJC d’Occitanie (Alban, Gaillac, Graulhet, Labruguière, Lacaune, Brassac, Réalmont, Viviers-les-Montagnes, Saint-Sulpice, Técou et Montastruc-la-Conseillère) de partager un moment privilégié avec des danseurs et danseuses professionnelles. Toutes les danseuses et danseurs se rassemblent le samedi 5 avril 205 au Hangart ! Tout au long de la journée, ils pourront participer à des workshops, des échanges et des rencontres avec les artistes de la formation Coline Istres.
À 19h00, la journée laissera place à un spectacle ouvert au public, réunissant sur scène les créations des groupes amateurs des MJC et 2 pièces interprétées par la formation Coline Istres : Inked, une œuvre d’Arno Schuitemaker, créée pour 14 danseurs, puis celle de Bui Ngoc Quan, qui viendra enrichir cette soirée chorégraphique.
L’énergie, la créativité et la diversité des pratiques seront mises à l’honneur dans ce temps fort, qui promet d’être un moment de partage et d’émotion pour les participant.es comme pour le public.

Danseur.ses de Coline – Inked – © M.Barret-Pigache

ZOOM sur la philosophie du projet "Il n'y a pas d'heure pour danser"

Fort du succès de sa première édition, le projet « Il n’y a pas d’heure pour danser » revient en force cette année avec une ambition amplifiée. Cette nouvelle édition a été portée par l’engouement unanime des participant.es à la première édition ainsi que par l’enthousiasme d’autres MJC du territoire d’Occitanie. La preuve en chiffres : 11 MJC constituées en 9 groupes et 110 danseur·ses amateur·rices, prêts à partager leur passion.

Ce projet a su créer une véritable dynamique en réunissant danseur·ses amateur·rices et professionnel·les autour d’une discipline phare des MJC. Selon l’Observatoire 2024 de MJC de France, la danse figure parmi les trois activités hebdomadaires les plus pratiquées (80,5 %) et les plus valorisées (72,8 %), juste après le théâtre (73,5 %) et devant les arts plastiques (54 %). En Occitanie, où la danse est bien présente, aussi bien en milieu urbain que rural, « Il n’y a pas d’heure pour danser » trouve tout son sens. Ce projet tisse un maillage territorial fort, favorisant le travail en réseau, les rencontres et les échanges entre structures, artistes et publics.

Un projet d’ouverture et de découverte
Grâce au soutien de l’Adda du Tarn et du Département, certaines MJC tarnaises bénéficient d’ateliers et d’accompagnement par des artistes chorégraphiques professionnel.les pour enrichir leur pratique (Léa Pérat pour la MJC de Técou par exemple). Au-delà de la pratique, « Il n’y a pas d’heure pour danser » offre aux participant.es une véritable immersion dans un parcours d’éducation artistique et culturelle (acquisition de connaissances, pratique artistique et rencontre avec les œuvres). Cette approche permet une ouverture à plusieurs niveaux : la rencontre entre amateur·rices, la découverte de divers univers chorégraphiques et esthétiques, l’échange avec des artistes et créateur·rices reconnu·es. Un projet collectif et d’envergure, avec des actions et ateliers qui n’auraient pu être portés individuellement, à l’échelle d’une structure.

Un ancrage territorial fort
Le projet favorise également le rapprochement avec les structures culturelles locales. Chaque groupe de MJC a ainsi l’opportunité d’assister à un spectacle professionnel sur son territoire, une expérience qui n’aurait pu voir le jour sans cette initiative collective. A titre d’exemple, le 19 mars dernier, les danseuses de la troupe de danse éphémère de Técou ont réalisé un atelier de découverte du flamenco avec Stéphanie Fuster, chorégraphe et danseuse et ont assisté à la conférence dansée Parler flamenco, interprétée par Stéphanie Fuster/Cie Rediviva au Hangart à Técou. Cette démarche, valable pour l’ensemble des groupes, est une expérience enrichissante qui illustre parfaitement la portée et l’impact du projet.

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